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 SUR-IMPRESSION

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MA

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À propos de moi

C'est lorsque que j'étais étudiant en art sur Paris en 1999, lors d'une ballade dans le cartier de Nation que j'ai trouvé une boutique d'anciens appareils photographique.

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J'ai décidé d'acheter un ancien argentique d'occasion, un NIKON FM10 avec un objectif de 25 mm et j'ai décidé de l'utiliser comme un témoin onirique, un compagnons fidèle de tous mes instants de vie de 1999 à 2018.

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Mon carnet Moleskin, mon FM10 et mes péloches. Ilford dans mon sac à dos je photographiais mes soirées, rencontres, voyages, ballades, vacances, concerts etc..... en réutilisant mes pellicules terminées au hazard de mes envies provoquant ainsi des sur-impression accidentelles et compositions graphiques inattendus.

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Ces clichés sont des superpositions de souvenir ou moments éphémères de ma vie qui en forme un troisième qui raconte une autre histoire.

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Je vous laisse découvrir ces images ;)

Ce qu'il faut savoir
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La surimpression était une technique utilisée au théâtre et dans les music-halls, ainsi que dans des salles où l’on projetait des scènes fantastiques, dessinées sur plaques de verre, à l’aide d’une ou plusieurs lanternes magiques, avant qu’elle ne fût adaptée au cinéma par Georges Méliès. La projection de dessins de monstres sur un voilage de tulle, tendu sur la scène devant les comédiens, était la base des séances de fantasmagorie qui avaient la faveur d’un public nombreux2. La surimpression était employée en photographie pour obtenir des effets semblables.

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Après avoir assisté à la première séance de projection des films réalisés par Louis Lumière, invité par Antoine Lumière, le père des deux frères, Méliès décida de faire à son tour des prises de vues animées. Il imita d’abord dans ses « tableaux » (ainsi qu’il qualifiait ses prises de vues) les « vues photographiques animées » (ainsi que Louis Lumière nommait les siennes). Il enregistra « un train entrant en gare », une « baignade en mer », une « partie de cartes », un « arroseur arrosé », une « sortie d’usine », etc. À l’imitation de William Kennedy Laurie Dickson, travaillant pour Thomas Edison qui, le premier, eut l’idée d’adopter le mot anglais film pour désigner ses bobineaux de pellicule impressionnée, Méliès filma une « danse serpentine » avec des voilages agités dans tous les sens par une danseuse.

 

Mais très tôt, il réorienta ses spectacles projetés sur grand écran en son théâtre Robert Houdin, vers ce qu’il appelait « le cinéma dans sa voie théâtrale spectaculaire3. » Adepte des projections de lanternes magiques, il adapta au cinéma la plupart des trucs que les « lanternistes » avaient mis au point.

 

La surimpression était sans doute le procédé le plus simple avec l’usage des plaques de verre. Une lanterne, chargée de deux plaques superposées, rendait déjà un bel effet. Un duo de lanternes, reliées par des volets permettant le passage rapide ou graduel de l’une à l’autre, était d’un effet encore plus spectaculaire. 

Source: Wikipedia

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